Discussions avec les réalisateurs et concert de Neila Benbey et Gani Mirzo à l’issue de la projection.
Soirée proposée et animée par l’association “Bagera, nous sommes”.
La musique ne met pas fin à la guerre, mais elle contribue à l’exorciser. Le Kurdistan syrien a été détruit par de longues années de guerre ;
mais sur les ruines des villes détruites, des musiciens, des poètes, des enseignants et des dizaines d’enfants jouent à nouveau de la musique pour couvrir les bruits déchirants de la violence.